Les jeunes et l’épargne : pourquoi la Gen Z ne « s’en fiche » pas

Imane H.

13 nov. 2025

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Les jeunes et l’épargne : pourquoi la Gen Z ne « s’en fiche » pas

Les jeunes et l’épargne : pourquoi la Gen Z ne « s’en fiche » pas

On reproche souvent aux jeunes de ne pas « prendre l’épargne au sérieux ». Pourtant, les études montrent une autre réalité : beaucoup de 18–30 ans réussissent à mettre un peu d’argent de côté, malgré un contexte de loyers élevés, de salaires d’entrée de carrière et d’inflation.

Le problème n’est pas la volonté, mais le décalage entre leurs besoins et les outils proposés.

Ce que disent vraiment les chiffres

Les études récentes sur le comportement financier des jeunes mettent en avant plusieurs tendances :

  • une majorité essaie d’épargner régulièrement, même des petits montants

  • la priorité va à la sécurité de base (dépôt de garantie, imprévus)

  • beaucoup utilisent des solutions simples : applications bancaires, cagnottes, comptes partagés

La Gen Z n’est donc pas inconsciente. Elle est surtout :

  • pressée par le coût de la vie

  • méfiante vis-à-vis des produits complexes

  • en recherche de sens dans l’usage de son argent.

Pourquoi les outils classiques ne suffisent plus

Des produits perçus comme rigides

Les livrets classiques restent utiles, mais ils ne répondent pas à tout :

  • pas de dimension collective

  • impression de « gagner des centimes » avec des taux faibles

  • langage compliqué, jargonneux

Pour un étudiant ou un jeune actif, l’effort de mettre 30 € de côté est déjà important. Si, en face, le bénéfice paraît minime, la motivation baisse vite.

Des budgets à flux tendus

Les jeunes doivent souvent :

  • payer un loyer élevé ou une chambre étudiante

  • avancer un dépôt de garantie important

  • financer l’ordinateur, le permis, parfois une partie des études

Avec un budget serré, ils ont besoin d’outils qui acceptent :

  • des petits montants réguliers

  • des pauses quand c’est compliqué

  • des objectifs concrets et visibles.

L’épargne communautaire : plus motivante que l’épargne solo

C’est là que les mécanismes communautaires, comme la tontine, ont un vrai rôle à jouer.

La force du groupe

Épargner seul, c’est facile d’abandonner. Épargner à plusieurs, c’est différent :

  • on se motivent entre amis ou cousins

  • on voit que « tout le monde s’y met »

  • on associe l’épargne à un projet positif (voyage, appart, projet pro)

Même avec 20 ou 30 € par mois, une tontine de 10 personnes peut créer un effet de levier.

La logique de la tontine entre jeunes

Exemple simple :

  • 10 amis décident de verser 50 € par mois pendant 10 mois

  • chaque mois, une personne reçoit 450 € (car le bénéficiaire du mois ne cotise pas ;))

  • chacun sait à l’avance quand son tour arrive

Avec 50 € mensuels, un étudiant ne peut pas faire grand-chose seul. Mais recevoir 500 € une fois peut :

  • financer un billet d’avion

  • régler une partie du dépôt de garantie

  • permettre l'achat de matériel (ordi, appareil photo, etc.)

Ce que change une tontine digitale comme Cirkkle

Les jeunes connaissent déjà les cagnottes en ligne et les groupes WhatsApp. Cirkkle se place un cran au-dessus :

  • règles claires (montant, durée, ordre de passage)

  • suivi des paiements et relances automatisées

  • traçabilité des flux pour rester dans un cadre légal

  • possibilité de constituer des groupes d’amis, de cousins, d’étudiants, etc.

Pour un jeune de la diaspora, c’est un moyen de :

  • garder une pratique connue de la famille (tontine)

  • mais dans un format adapté à sa vie en France

  • tout en restant en règle.

Comment intégrer la tontine digitale dans un budget de Gen Z

Une approche réaliste :

  1. Fixer un montant modeste mais constant (20–50 € par mois).

  2. Choisir un groupe de confiance (amis proches, frères et sœurs, cousins).

  3. Créer une tontine digitale Cirkkle avec un objectif concret :

    • financer un projet d’études

    • sécuriser un déménagement

    • financer un projet collectif (voyage ou événement).

L’idée n’est pas de remplacer les livrets, mais de proposer un outil supplémentaire, plus motivant, plus communautaire et adapté aux petits budgets.

Conclusion

Les jeunes ne manquent pas de sérieux. Ils manquent d’outils qui parlent leur langage et respectent leurs contraintes. Entre les livrets classiques pour l’épargne de sécurité et les tontines digitales pour les projets concrets, il est possible de construire des habitudes financières solides, même avec de petits moyens.


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Cirkkle, société par actions simplifiée au capital de 17.335 euros, dont le siège social est situé au 249 rue Lecourbe, 75015 Paris, France, immatriculée au registre du commerce et des sociétés de Nanterre sous le numéro 918 626 193, est enregistrée auprès de l’ORIAS en tant qu’Intermédiaire en financement participatif (IFP) sous le numéro 23004412. Cirkkle est agent prestataire de service de paiement (#736637) de CentralPay, établissement de monnaie électronique agréé (CIB 17138) en France et contrôlé par l’ACPR (Autorité de Contrôle Prudentiel et de Résolution, 4 place de Budapest – CS 92459 – 75436 PARIS Cedex 09).

Cirkkle, société par actions simplifiée au capital de 17.335 euros, dont le siège social est situé au 249 rue Lecourbe, 75015 Paris, France, immatriculée au registre du commerce et des sociétés de Nanterre sous le numéro 918 626 193, est enregistrée auprès de l’ORIAS en tant qu’Intermédiaire en financement participatif (IFP) sous le numéro 23004412. Cirkkle est agent prestataire de service de paiement (#736637) de CentralPay, établissement de monnaie électronique agréé (CIB 17138) en France et contrôlé par l’ACPR (Autorité de Contrôle Prudentiel et de Résolution, 4 place de Budapest – CS 92459 – 75436 PARIS Cedex 09).